• Adresse : 15 rue de Toscane, Southampton
• Description de la maison : Il s’agissait d’une vaste demeure à étage. Sa ressemblance avec les maisons coloniales argentines était frappante. Le bâtiment était construit en pierres blanches qui reluisaient au soleil.
Au rez-de-chaussée de la maison, on pouvait trouver un salon, une cuisine, une salle de bain et une chambre. Tous les meubles étaient anciens, les pièces décorées et aménagées de façon avenante et reposante. Dans le salon, qui pouvait servir de salle à manger, étaient accrochés quelques tableaux : certains représentaient l’Argentine, d’autres l’Italie ou des paysages. Une cheminée, ancienne, s’y trouvait, dans laquelle, par les jours d’hiver, un bon feu ronronnait.
A l’étage, se tenaient une bibliothèque servant aussi accessoirement de bureau, une salle de musique, une chambre d'amis. La bibliothèque était une vaste salle dont les murs étaient recouverts d’étagères et de livres. Quelques ouvrages étaient d’impérissables chefs d’œuvres de la littérature moldue, comme La Divine Comédie, de Dante, que Sole possédait en italien. Un canapé ainsi qu’une table de travail et une chaise la meublaient également. La salle de musique, quant à elle, était aussi grande. Les murs étaient peuplés de partitions aussi diverses que variées. Au centre de la pièce se trouvait un magnifique piano à queue, un Pleyel en bois verni. Sur le piano, mais retournée, gisait une photo encadrée de la grand-mère maternelle de la jeune femme.
• Description du jardin : La maison de Sonsoles était entourée d'un grand jardin comportant des arbres fruitiers, des rosiers, des fleurs à profusion ainsi qu’un petit plan d'eau. Une allée bordée d’orangers et de palmiers menait à l’entrée. Toutes les plantes venaient d’un jardin botanique sorcier et pouvaient vivre sous tous les climats possibles et imaginables.
• Autres ? Sonsoles avait réussi à transporter un petit peu d’Argentine en Angleterre et avait fait de sa maison un petit coin de paradis.
La maison où vivait Sonsoles se trouvait à Southampton, au milieu des maisons moldues, mais, grâce à la magie, n’était visible que des sorciers.